Durant le premier confinement, Georg Riesenhuber a pris le virus par les oreilles et l’a entraîné dans une conversation. Pour libérer sa tête et ses feuilles de dessin. La plupart du temps, il lui suffit, comme au laboratoire, de quelques traits pour capturer le virus. Il en résulte un vade-mecum joyeux, pointu, voire mélancolique, sous forme à la fois de rétrospective du début de la pandémie…
Martin Puntigam, Cabarettiste /
Les travaux de Georg Riesenhuber ne sont pas une représentation de la réalité, mais des commentaires pertinents sur notre vie et notre mode de vie. En tant que dessins spontanés avec leur caractère spécifique intemporel, ses caricatures convainquent également par la clarté de leur message et de leur expression. Bref, ce sont tout simplement des caricatures qui ont du caractère !
Veronika Wolf, Historienne de l’art
Quarantaine
Caricatures du virus, jamais devenues virales
